Hello les accros !
Aujourd'hui c'est si on commençait la journée par....
Voilà la première d'une longue liste j'espère
L'INTERVIEW
De Julie Perry
Miss N.: Bonjour Julie, présente toi en quelques mots.
Julie : Bonjour, avant tout, je suis une maman de deux grands enfants, deux garçons de 17 et 22 ans, ils sont mes moteurs, et bien évidemment la cause de la plupart de mes soucis ^^ Mais je n'ai pas trop à me plaindre soyons honnêtes. Nous formons, avec mon mari, une famille recomposée et j'ai aussi la chance d'avoir deux belles-filles de 23 et 20 ans. Elles vivent outre‐atlantique et nous font rêver! Peut-être est-ce pour cela que j'affectionne particulièrement les États unis et que j'aime y faire évoluer mes personnages. Avec mon mari, nous avons une entreprise de service à la personne qui nous prend beaucoup de notre temps et de notre énergie; heureusement, nous nous arrangeons pour laisser de la place à la ecture et l'écriture maintenant.
Miss N. : Parle-nous de toi et tes romans et du lien qui vous unit.
Julie : J'aime écrire, j'ai toujours aimée jouer avec les mots. Mes livres sont la concrétisation de cette passion donc forcément, ils comptent beaucoup. Ils me permettent de m'évader dans ma bulle, mais aussi d'exprimer certaines choses qui ont besoin de l'être.
Miss N. : As‐tu des projets en cours ?
Julie : Toujours ! Plus où moins avancés.
Miss N. : Un de tes romans t'a t‐il plus touchée où à été plus compliqué à écrire ?
Julie : Sans hésitation, le dernier, qui aborde des thèmes plus sérieux comme le harcèlement, la maltraitance, le mal être. Il faut donner un peu de soi dans ces cas là.
Miss N. : Y a t‐ il quelque chose de récurrent dans tes romans? Si oui peux‐tu nous le réveler ?
Julie : Je ne pense pas... pas consciemment en tout cas.
Miss N. : Lis‐tu pendant que tu écris ? Si oui quel genre ?
Julie : Mille fois oui! Tout les genres me conviennent : du thriller à la romance en passant par la bi‐lit et la fantasy où le roman historique, je suis une boulimique des livres!
Miss N. : La musique t'accompagne t‐ elle pendant l'écriture ? Si oui quel style ?
Julie : Pas du tout ! Quand j'écris, tout comme quand je travaille, je fais abstraction du reste. Le toit pourrait s'écrouler je m'en rendrai compte trop tard ^^
Miss N. : As-tu des personnages préférés ? Que ce soit dans tes romans où ceux que tu lis.
Julie : Oui ! Mais il y en a plein ! Si je dois en choisir un, ce serait Athos des trois mousquetaires.
Miss N. : Qu'est-ce qui t'as donnée envie d'écrire?
Julie : Mon mari est auteur de thriller depuis 2015; il a été édité et a trouvé son public. J'ai relu et corrigé ses épreuves, débattu avec lui avec passion; nous étions deux dans cette aventure et elle était grisante. L'est toujours, d'ailleurs. Petit à petit, cela m'a permis de gagner cette confiance en moi qui me faisait défaut. Et je me suis lancée. D'abord en secret. J'avais trop peur que l'étincelle ne s'éteigne comme un pétard mouillé et je n'avais pas envie d'échouer .... aux yeux de mes proches. Puis, ALL YOU NEED IS ME est né..... Arrivée à la moitié, excitée comme une puce, j'ai su que j'allais aller au bout. Et mis mon mari dans la confidence. Je dois lui dire merci car il n'a pas hésité à me lire (pas fan de romance en temps normal ^^, il préfère trucider les gens que les faire s'embrasser ) et son enthousiasme m'a boosté. J'ai eu la chance que la maison d'édition que j'avais placée en haut de ma liste me contacte, et voilà.... début de l'aventure avec Harper Colins. Harlequin, c'est plus de 40 ans de romance, ils sont les pionniers du genre et surtout, il y en a pour tous les gouts et tous les âges.
Questions de Phil Cartier auteur partenaire:
Phil Cartier : L'inspiration vous vient elle de scènes observées où est-ce purement imaginaire ?
Julie : Compliqué de démêler cet écheveau qu'est l'esprit en action. Je pense que ce que l'on voit,ce que l'on vit, nous marque et que forcément cela influence notre imagination.
Phil Cartier : Avez‐vous des rites? Lieu, matériel, état d'esprit
Julie : Aucun ce qui est bien pratique car dès que j'ai un moment, je peux écrire. Après bien sûr, il faut en avoir envie, et parfois, ce n'est pas le cas.
Phil Cartier : Quelles sont vos passions hors écriture ?
Julie : Facile : la lecture ^^ Phil Cartier : Êtes-vous une autrice; type jardinier, architecte où autres ?
Julie : Jardinier incontestablement. J'ai besoin de commencer pour savoir où je veux aller dans le détail.
Phil Cartier : Vous laissez‐vous emporter par vos personnages ?
Julie : Ça m'arrive 😊 et je m'y attache!
Phil Cartier : Qui vous assiste dans votre travail ? Correcteur, graphiste, relecture ...
Julie : Personne si ce n'est ma maison d'édition !
Phil Cartier : Quels ont été vos sentiments après l'achèvement de votre premier roman ?
Julie : J'avais l'impression d'avoir gravi l'Everest ! 80 000 mots ce n'est pas rien, et d'ailleurs quand je recommence, j'ai toujours cette sensation de vertige, de ne pas pouvoir y arriver .
Miss N. : Pourquoi chacun de tes romans, portent un noms anglais ?
Julie : C'est une choix de Harper Colins, ma maison d'édition.
Miss N. : Lequel de tes romans a été le plus facile à écrire ?
Julie : One Night With You. C'était pendant le confinement donc je ne pouvais faire que ça toute la journée ! Royal !
Miss N. : Pour le où lesquels de tes romans a t‐ il été le plus difficile à dire au revoir?
Julie : Les ALL YOU NEED parce que ce sont mes premiers. Et High school Bad Boy. Mais il n'est pas certain que ce soit un adieu 😉
Miss N. : Et au contraire le plus facile?
Julie : Ah, je dirais aucun car tout de même, on travaille des heures dessus, ce n'est jamais facile.
Miss N. : Si tu avais quelque mot à dire sur la série ALL YOU NEED ce serait ?
Julie : Que je me suis éclatée lorsque je l'ai écris cette duologie ! Je n'avais pas encore de maison d'édition mais l'excitation était bien là ! Et puis je fantasme sur un de mes persos ^^
Miss N. : ONE NIGHT WITH YOU t'est venu facilement au vu du thème ?
Julie : Oui, comme je l'ai dit, j'avais tout mon temps pour écrire et pour moi, c'était un luxe. Par ailleurs, je n'ai pas souffert du confinement : mes enfants sont grands, j'ai un jardin, donc franchement, je n'avais pas à me plaindre.
Miss N. : SOMEONE LIKE YOU se passe dans un univers artistique, es‐tu attirée par cet univers?
Julie : Attirée non, fascinée oui. La différence est importante dans le sens où je ne m'y risquerai pas, mais cela ne m'empêche pas de fantasmer dessus.
Miss N. : Avec HIGH SCHOOL BAD BOY tu nous ramènes sur les bancs de l'école où tout comme nous tes personnages ont leurs fêlures, complexes et sont leurs parfaits opposés et égaux.... d'où leur histoire t'est t‐elle venue?
Julie : ne sais pas trop ... Mes années lycées n'ont pas été des plus extraordinaires, écrire sur ce thème m'a en quelque sorte donnée l'opportunité vivre autre chos. Jace et Hope sont en effet abîmés, et comme le souligne la question, nous le sommes tous un peu. Il y a certaines choses de moi, d'autres qui n'ont rien à voir.
Miss N. : Tes personnages masculins nous horripile autant qu'on les aime, quelqu'un t'a t'il inspiré?
Julie : Nope! Mais c'est comme ça que j'aime les gens dans la vie : pas lisses avec plusieurs facettes,
Miss N. : Quels sont tes sentiments vis-à-vis d'eux ?
Julie : je crois que je réagis comme vous en fait (rires) parfois je les adore, parfois j'ai envie de leur taper dessus. Mais au final j'y suis attachée.
Miss N. : Tu écris de la romance, mais un autre sujet t'a t‐il déjà tenté pour l'écriture?
Julie : Pas pour l'instant.
Miss N. : Que pense ta famille et ton homme de ton métier d'écrivain ? N'en ont t‐ils jamais marre ?
Julie : Il écrit lui aussi donc... tout ce passe merveilleusement bien. Et mes enfants deux garçons hein, donc ils sont plutôt du genre à me taquiner.
Miss N. : Ta vie amoureuse t'a t‐elle déjà inspirée ?
Julie : Bien sûr ! Des fragments y sont éparpillés.
Miss N. : Certaines scènes de tes romans sont t‐elles du vécu où du fantasme ?
Julie : Les deux. Mais vous ne saurez pas lequelles 😊
Miss N. : Ta famille t'encourage t‐elle ?
Julie : Oui, j'ai de la chance de ce côté.
Miss N. : Tu écris et aime donner ton avis sur tes lectures, l'un ne va pas sans l'autre pour toi?
Julie : Pas forcément, c'est un choix. Et je partage seulement quand j'aime; la aussi c'est un choix et je respecte ceux qui donnent leur avis quelqu'il soit, du moment que c'est fait dans le respect.
Miss N. : Quand tu écris quoi de la romance où du caractère des personnages prend le dessus ?
Julie : Le caractère sinon on sent que c'est forcé.
Miss N. : Tu écris la journée où tu es plutôt nocturne ?
Julie : En journée .
Miss N. : Et pour finir si tu avais quelque chose à dire à tes lecteurs et lectrices ce serait ?
Julie : Un immense merci ! On peut écrire ce que l'on veut, si le lectorat n'est pas là, on existe pas.
Merci beaucoup Julie Perry ❤
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